Gente de toute contrée, si tu n’as point entendu le récit du furieux combat, écoute donc Groudon le gai Ménestrel (que je suis…)
Ce fut en ce mardi 8 décembre de l’an de grâce 2016, que l’ost des Samouraïs sanguinaires affronte la valeureuse basse-cour de Genève. Que l’on clamât la grandeur des deux armées, une seule allait sortir conquérante de ce combat, et ainsi régner sur FIG la Belle.
A Dieu ne plaise de compatir, les Yakuzas sans pitié accablent leurs adversaires de punch sanglants, déchiquetant les membres des Dindons, qui, ramassant leurs guiboles et leurs estripes, repiquent avec courage et désarçonnent les jouteurs japonnais sur milles mixtes et comparées. Le combat dure ainsi jusqu’à 22h12, et, sur le dernier coup de corne de l’arbitre annonçant l’ultime impro, les 10 valeureux guerriers rassemblent leur dernières forces pour la supplémentaire. Les sabres et katanas eurent raisons des becs et griffes, et la bannière des Dindons fut piétinée par le shogun triomphant.
Après le rappel des deux hordes, le Saint Père Jorgus Ier arrive sur le champ de bataille et, sur un élan de compassion digne de notre sauveur Jesus Christ, accorde le point d’interprétation aux deux équipes. Mais la loi des hommes rattrape la loi des Dieux, et le pape est rappelé aux ordres.
Ainsi se termine, le fabuleux récit
des preux Yakuzas, et des Dindons amis.